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Le géoréférencement des réseaux d'éclairage public

Depuis le 1er janvier 2020, les 1 700 km de réseaux d'éclairage public des communes urbaines du département sont détectés et géoréférencés.

 

En tant que gestionnaire de l’éclairage public, le SDE22 a missionné quatre entreprises : Etudis, SDRE, TRC et ETA afin de procéder à ce géoréférencement.

 

L’objectif est d’améliorer la connaissance de la localisation des réseaux souterrains d’éclairage public, afin de sécuriser les interventions futures.

 

Dans le cadre de la réforme anti-endommagement des réseaux et de son décret «DT/DICT», l’arrêté du 15 février 2012 oblige, d’une part, à géoréférencer en classe A (40/50 cm) tous les réseaux sensibles (électricité, gaz, éclairage public...) construits à l’occasion de travaux neufs et, d’autre part, à répondre aux DT/DICT (Déclaration de Travaux/Déclaration d'Intention de Commencement de Travaux) avec un plan des réseaux respectant ces règles de positionnement.

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Etat d'avancement  de la détection-géoréférencement des réseaux souterrains d'éclairage public au 1er septembre 2022.

Les gestionnaires de réseaux ont donc désormais l’obligation de fournir des plans géoréférencés avec une incertitude maximale de localisation de 40 cm (50 cm dans le cas de réseaux flexibles). Deux échéances ont été fixées : la première au 1er janvier 2020 pour les unités urbaines et la seconde au 1er janvier 2026 pour le reste du territoire. Dans les Côtes d’Armor, 86 communes étaient concernées par la première échéance de 2020. Cela représentait 1 700 km de réseaux à détecter.

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